Fabliaux
Un candidat potentiel visait la place de Sarko
Avec pour atout d’être un caïd socialo.
Une jeune et jolie Hutu, (ethnie africaine)
Était devenue soubrette américaine.
Elle croisa le caïd dans le cadre de son job
Qui en profita pour se faire astiquer le z…
Connivence ? Attirance ou agression ?
Le caïd passa un moment en prison.
Ses ambitions tombèrent tristement à l’eau :
Il n’aura pas succédé à Sarko !
Moralité (en 2011) .
Turlutte Hutu : Sarko point eu !
Fable orientale
Un fakir avaleur de sabre traversait une fort mauvaise passe.
Un négociant en dattes se lamentait de ne pouvoir former sa caravane asinienne, son commis étant absent.
Le fakir lui proposa de charger le bât des ânes, moyennant une collation.
Le marchand accepta et posa un panier de dattes sur une escabelle en disant : « Tu charges 2 baudets et tu auras le droit de manger une poignée de dattes. 2 autres bourricots chargés, nouvelle poignée de dattes, etc. » et pressé, il quitta son entrepôt.
Le fakir commença à lester le premier âne puis, tenaillé par la faim, il se jeta sur le panier de fruits et dévora le tout !
Moralité.
L’avaleur n’attend pas le nombre des ânées* !
*Ânée : charge d’un âne
Fable machiste
Une jolie jeune fille, par ailleurs pas très futée, se promenait avec des copains. En passant près d’un immeuble, elle reçut des gouttelettes de l’arrosoir d’une locataire abreuvant généreusement ses géraniums à l’étage. Cela fit beaucoup rire ses copains.
Un peu plus loin, un automobiliste arrêté à un feu en profita pour nettoyer son pare-brise en actionnant le lave-glace juste au moment où le petit groupe arrivait à sa hauteur. Mal réglé, le jet d’eau aspergea de nouveau la malheureuse, provoquant une nouvelle hilarité de ses amis.
Comble de malchance, encore plus tard, arrivés au parc, et alors que les amis venaient de s’asseoir sur le gazon, l’arrosage automatique se mis intempestivement en marche, mouillant le groupe et la demoiselle. Les garçons s’en amusèrent mais la jeune fille, très fâchée, les planta là et s’en retourna solitaire.
Moralité.
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin "elle se casse !"
Fable flinoise
Les finances de Flines sont notoirement tendues, la capacité d’autofinancement étant insuffisante pour permettre des investissements conséquents. La mairesse se targue continuellement d’un taux d’imposition très en deçà de ce que pratiquent les communes de même taille.
Le « potentiel fiscal », fruit du produit calculé des bases fiscales flinoises par le taux national moyen d’imposition des communes de même taille, montre les recettes théoriques possibles avec une politique fiscale moins restrictive. Les marges dégagées auraient donné une certaine aisance et permis d’investir.
Hélas, la suppression progressive de la taxe d’habitation va figer ad vitam aeternam les recettes de la commune au niveau très bas voulu par l’entêtement (démagogique ?) du conseil municipal depuis 5 décennies et les Flinois continueront à subir une gestion « low cost » : peu d’impôts, certes, mais peu de services en retour
Moralité.
A l’impôt cible nul n’est tenu !
Ou encore : Impôt cible n'est pas Flinois !